Je fais un 2/4 tournant sur crémaillère dans une trémie rectangulaire donnant accès à une mezzanine en parquet sur poutres et poutrelles en chêne (cf photo – la ballustrade existante est provisoire).

J’envisage trois solutions :

1. Circonscrire l’escalier à l’intérieur de la trémie et fixer la crémaillère extérieure de la dernière volée sur le champ de la trémie (cf photo tremie_arrivee_cremaillere_a_l_interieur.JPG).
   • Avantage : fixation plus robuste ?
   • Inconvéniant : ballustrade de l’escalier en double de celle de la mezzanine sur la partie haute. Ca doit faire lourd ?
2. Déplacer la crémaillère extérieure de la dernière volée sous la poutre qui longe la trémie (cf photo tremie_arrivee_cremaillere_a_l_exterieur.JPG).
   • Avantage : ballustrade en fer forgé entre la crémaillère et la poutre
   • Inconvéniants : Crémaillère plus difficile à fixer car appui au dessus, arrivée inesthétique, nécessité d’une rainure dans la poutre très difficile à usiner pour la dernière marche (trait au dessus de la crémaillère)
3. Solution 2 mais avec la crémaillère à cheval au droit de la poutre i.e. 4,5 cm sous la poutre, 1,5 cm dans la trémie. Ici, c’est bien la crémaillère qui porte la dernière marche grâce à ces 1,5 cm qui montent contre le champ de la trémie (pas de photo).
   • Avantage : comme en 2
   • Inconvéniant : découpe de la crémaillère un peu plus difficile.
4. Solution 3 mais avec une main courant qui termine sous la poutre de la trémie (cf photo tremie_arrivee_cremaillere_a_cheval.JPG).

Autre question : sur cette dernière photo, je m’interroge sur la prolongation de la trémie dans son axe et sous la poutre pour augmenter les points de fixation (cf en vert foncé). Est-ce utile ? Est-ce mieux estéthiquement ?

Qu’en pensez-vous  ?