Bonsoir Alexandre,

Ouf, j’ai vraiment eu peur que mes maladresses dans l’explication de mes problèmes de conception et d’utilisation de PolyBoard ne débouchent sur un « clash » intergénérationnel ! Entre le Professionnel que vous êtes et le néophyte passionné que je suis, un malentendu a donc été levé. Je veillerai, à l’avenir, à être plus clair et surtout à accompagner mes textes (que j’essaierai de faire plus brefs…) de schémas plus lisibles même s’ils sont mal conçus ou… aïe, aïe, voilà que je me lance encore dans … un « Roman fleuve » !

Pour en revenir à mes « vieilles charnières piano » (marrant qu’un mot qui dérive de « pianissimo » qui, sauf erreur de ma part, signifie  « doucement » en italien, ait pu conduire à toute cette incompréhension réciproque !), votre solution me semble frappée du sceau du bon sens ! Notre électricien n’ayant pas un tour de taille trop imposant, il devrait pouvoir accéder au boitier sans que je sois obligé de démonter le toit du caisson comme je l’imaginais au départ et je vais rapidement reproduire, dans mon projet, votre proposition… avant de passer à tous les autres projets que mon imagination… débordante… m’inspire.

Une fois encore, que vous-même Alex, Ness et tous ceux qui ont eu (ou auront) « le courage » de lire mes « bafouilles » de débutant soient remerciés mille fois ! Le bénévolat est une chose précieuse dans une société où certains voudraient nous faire croire que la solidarité ne serait plus une valeur digne d’être respectée ! 

Cordialement,

Gilles 

Bonjour Alexandre,

Qualifier de « Roman Incompréhensible » une tentative maladroite d’explication d’un projet de meuble écrite par le béotien (débutant ou ignorant) que je suis, explication « verbeuse », il est vrai, insuffisamment illustrée ou par des schémas illisibles (je vous l’accorde) mais ne comportant que quelques lignes…, pour les « vieux » comme moi… , cela ne relève pas de la plaisanterie mais d’une certaine forme de mépris envers un novice en menuiserie (et oui, on peut être débutant même à passé 60 ans, souvenez-vos en !) !

De plus, vous écrivez en post-scriptum… sans rire :

« PS : faut il encore que les prochaines générations tiennent vigeur de ce savoir… « 

Mais vous en tenez compte tous les jours du savoir des « anciens » !!! D’où tenez-vous votre savoir, en menuiserie (des très très « anciens » même, du Moyen-Âge puis des Compagnons du Devoir, entre autres !). Et si l’on n’aborde que le domaine informatique, apprenez que je suis, pour ma part, de la génération qui a encodé et programmé des milliers de lignes de code… (en plus de mes titres universitaires en Chimie et Biochimie, je suis programmeur-analyste de gestion formé par Control-Data Institute, en 1986… tiens, comme c’est curieux… avant votre naissance alors que vous n’étiez qu’un embryon ou, tout au plus un fÅ“tus, dans l’utérus de votre mère !) !! N’oubliez surtout pas que, il y plus de 30 ans, l’ordinateur existait déjà et que la seconde génération des « pionniers » de l’informatique est la mienne !

Dernier petit point de détail… si vous ne comprenez pas mes textes… ne les lisez plus… c’est pas plus compliqué que cela !

Bien à vous, mon cher Monsieur.

Oups… Désolé Alex,

La devise terminant mon dernier message est entachée d’une colossale faute d’orthographe : « Le savoir et la seule chose qui grandisse au fur et à mesure qu’on le partage ! »… Le soucis de l’orthographe, encore un point qui prouve le fossé de génération entre nous !

Cdlt,

Gilles